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»Nous sommes tous devenus comme des objets impurs

et toute notre justice est pareille à un habit taché de sang,

nous sommes tous aussi fanés qu’une feuille

et nos fautes nous emportent comme le vent.

Il n'y a personne qui fasse appel à ton nom,

qui se réveille pour s'attacher à toi.

C’est que tu t’es caché à nous

et tu nous laisses nous liquéfier par l’intermédiaire de nos propres fautes.

»Cependant, Eternel, c’est toi qui es notre père.

Nous sommes l'argile, tu es notre potier,

nous sommes tous l’œuvre de tes mains.

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